16/02/2010

On n'arrête plus!

Sur cette belle lancée (et même si personne ne me suis dans ce chemin aventureux) je ne peux stopper ma course fulgurante vers l'anonymat chronique. Et comme je me fais chier en cours d'espace avec cette chère Miranda, j'en profite pour faire des choses plus ou moins constructives.
Donc je ressors de vieilles archives de notre regretté temps1 bref mais intense, entre nuits blanches, chocolats chauds et laurent batard.
Ici un merveilleux sujet de couleur (Blandine nous fait d'ailleurs un ptit remake version city, parce qu'aux arts déco on a pas peur de faire et refaire).

 
Je retourne à présent à mes espaces secrets et leur dialectique centrale. 

0 commentaires: